mardi 28 avril 2009

Istanbul.b

Les habitants de Byzance étaient les Byzantins et ceux de Constantinople les Constantinopolitains ou les Politains.
Les habitants d’Istanbul sont les Stambouliotes ou les Istanbuliotes[2].

On ne dit pas « Istanbul » pour désigner le pouvoir politique ottoman, on dit, en employant des synecdoques, la « Sublime porte » ou simplement «la Porte » s'il s'agit du gouvernement ou « le Palais » s'il s'agit du Sultan.





Istanbul.a

Appelée aussi la Nouvelle Rome (d'ailleurs, comme Rome, Istanbul est fondé sur sept collines), Istanbul appartint tour à tour à la Grèce antique, à l’Empire romain parfois appelé byzantin quand elle en fut devenue la seconde capitale, à l’Empire latin d'Orient, à l’Empire ottoman, puis, juste après la chute de celui-ci, à la Turquie. Les anciens noms de la ville, Byzance puis Constantinople, témoignent de cette longue histoire. Seules quelques autres grandes villes ont eu trois noms au cours de leur histoire. Du point de vue historique, on peut considérer qu'avec Athènes et Rome, Istanbul est l'une des trois capitales antiques les plus importantes aujourd'hui.




Istanbul

Istanbul (en turc İstanbul, parfois francisé en Istamboul, nom historique « Byzance » puis « Constantinople »), préfecture de la province du même nom, est la plus grande ville de Turquie avec 13 millions d'habitants[1].

Située à cheval sur l’Europe et l’Asie, de part et d’autre du détroit du Bosphore, elle est généralement considérée comme européenne parce que la ville historique est située en Europe. Elle est au centre de l’une des plus grandes agglomérations du continent et constitue le principal pôle économique du pays.




jeudi 23 avril 2009

"Je veux voir la terre entière naître et mourir dans les arabesques de la lumière changeante.
Le tout puissant appel du monde."
"Voici l'heure de la confidance à soi-même. Dans la suspention magique de l'air je pars chercher mon âme."





mardi 21 avril 2009

Aranéides, prédateur invertébré arthropodes

"En Inde, les Upanishad voient un symbole de liberté dans l'araignée qui peut descendre, mais surtout s'élever le long du fil qu'elle crée selon ses besoins ; le fil équivalent du Yogi étant la syllabe « Aum » qui doit lui permettre de s'élever jusqu'à la révélation et à la libération"...
En attendant, ici en France, on dit "araignée du soir, espoir", bonsoir !




Première aube

"...quelques secondes d'apesanteur..."




Latina

"La couleur trompe-t-elle la vigilance ? L'urgence n'attend pas"


Latina

"Nos repères les plus sûrs, nos certitudes, nos images ont blanchi.
Un parti du monde reste en nous, livide."





Luz

" Fulgurante nuit. Le fond de l'air est doux. Le jeux des lumières de la ville est comme un rêve, un trait d'union entre les illusions vides du monde et les trésors infinis d'une incantation intérieure. Dans l'attente d'une visitation..."






Me, myself and I

"Se représenter est une tendance des plus générales chez l'être humain, à partir de cette jubilation première qui fait exulter le bébé à découvrir sa propre image, dans et sans le miroir puisque les yeux de la mère y suffisent. Et plus tard tous les yeux ! Cette tendance peut donner lieu à l'autoportrait du peintre proprement dit qui décide de se représenter ou de suggérer sa propre image; ou comme il est de mode chez les cinéastes de se fondre en clin d'œil comme un simple figurant Alfred Hitchcock. Cette représentation de soi peut être non consciente et se manifester de nombreuses façons : on se donne à voir en tant que persona (Carl Gustav Jung). Cette forme d'auto-portrait est à la base du maquillage, de l'habillement, et des moindres gestes ou attitudes qui tendent à révéler/masquer une certaine image préalable de soi (image directrice du philosophe Ludwig Klages) qui crée le portrait avant que n'existe son modèle2 qui imprègne en permanence et à l'insu de son auteur, toutes les formes d'expression."